Face au harcèlement qui amène des enfants à se suicider, la France opte pour cette démarche. Et si on enseignait plutôt la qualité relationnelle ? Et si on apprenait à soigner nos interactions avec les autres ? enfants jeunes adultes tous, nous sommes appelés à construire des ponts pour un mieux vivre ensemble. La qualité relationnelle nous conduit à bâtir dans la diversité en préservant le libre arbitre des individus. Il ne s’agit pas d’avoir pitié de l’autre, d’avoir de la compassion ou quel autre manifestation émotive ; il s’agit d’éviter, les prêts d’intention négatives, Les jugements péjoratifs, Les contraintes dans nos rapports avec les autres. Le paradigme de l’entente c’est maintenant et vivre ensemble s’apprend. « Mme Véronique Bamba »

La démarche qualité relationnelle à sa carte à jouer dans le management des organisations

Cas pratique :

Amy sollicite un service consulaire pour un visa. 2semaines plus tard n’ayant aucune nouvelle, elle décide de se rendre sur place pour en savoir d’avantage car le bureau indépendant à qui le consulat a concédé ce service ne retrouve pas le passeport en son sein. Amy est reçue au consulat après moultes péripéties : cela lui a pris toute la journée. On lui remet le passeport avec le visa; trop pressée car elle devait voyager ce soir-là elle court ranger ses affaires pour l’aéroport. Dernière vérification, Amy constate avec stupeur que le visa est bien à son nom mais apposer dans le passeport de Lydie. Les deux personnes ne portent pas le même patronyme pour envisager une probable confusion d’identité. Amy annule son voyage. Le lendemain elle retourne au consulat et expose son problème à l’agent au guichet. Celui-ci lui indique qu’il ne peut rien faire et donc il faut qu’elle attende sa collègue qui a traité le dossier. Lorsque excédée Amy tente d’expliquer que quelque chose a mal fonctionné dans le traitement de son dossier l’agent du guichet lui montre qu’il a été compatissant en prenant le passeport litigieux pour y jeter un œil;  donc Amy n’a pas à se plaindre. Puis sans ménagement il lui demande de sortir de la pièce pour aller attendre dehors où aucun aménagement n’est prévu pour recevoir les usagers.

Tout est réuni dans ce cas pour un conflit, une explosion de la part de Amy.

Quelques éléments de dégradation relationnelle :

• Manque d’altérité, le respect dû à l’autre
• Manque de démarche qualité relationnelle qui aurait permis de mettre en place une procédure qui identifie les risques liés aux comportements des agents et les mesures de remédiation etc…

Une organisation fonctionne avec des humains et leurs interactions sont indispensables à l’efficacité du service rendu aux usagers ( ici dans notre cas d’espèce)

Bien vivre avec les autres s’apprend pour minimiser les risques de conflits et tensions

Véronique BAMBA

Le consensus dans l’imaginaire populaire c’est se mettre d’accord pour construire et conduire un projet. C’est l’entente sociale pour éviter les conflits.
Seulement l’entente sociale ou le consensus est une œuvre humaine où les relations interpersonnelles sont au cœur du processus peut-être même l’épine dorsale de tout l’édifice. Tenir compte de l’autre dans cette construction semble un facteur de succès à considérer.
La pratique de l’altérité grâce à la formation à l’ingénierie relationnelle afin de disposer d’outils pour construire l’entente sociale, la médiation professionnelle vous offre cette opportunité. La paix est vraiment un comportement et vivre ensemble s’apprend:

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La violence des clients est un phénomène grave et récurrent pour de nombreux employés de service, mais en grande partie déniée par les organisations parce qu’elles ignorent comment la prendre en charge sans altérer la qualité de la relation commerciale et clientèle.
Il faut savoir que la violence des clients conduit à la détérioration de l’environnement de travail et finit par conduire l’employé exposé à un mal-être, un conflit en soi voir un burn-out.
Le sacro saint principe « le client est roi » qui constitue l’épine dorsale des politiques marketing d’une grande majorité d’organisations de services est un ingrédient de taille dans la dynamique de cette atmosphère délétère.

L’approche par l’ingénierie relationnelle offre des solutions innovantes qui aident à identifier les sources de ces violences et à mettre en place un dispositif basé sur la qualité relationnelle au travail (QRT), pour créer et construire l’entente sociale dans l’organisation entre les différents composants: ceux qui font l’organisations c’est-à-dire, les partenaires, les clients, les employés et le management.

Patrons, ne laisser plus vos employés affronter seuls les clients violents: des solutions existent pour prendre en charge efficacement ces problématiques en préservant la qualité de vos relations commerciales et clientèles.

VIVRE ENSEMBLE S’APPREND: LA PRATIQUE DE L’ALTÉRITÉ

L’altérité implique la reconnaissance et la prise en compte de l’existence d’autres individus, cultures, ou perspectives.
L’altérité met l’accent sur le respect de l’autre en tant qu’entité distincte de nous et unique.
La pratique de l’altérité est un indispensable pour:
*Construire le vivre ensemble
*Animer le dialogue social
L’autre avec qui nous interagissons est différent de nous.
Souvent dans les relations interpersonnelles cet aspect nous échappe; nous parlons, nous agissons la plupart du temps puis nous sommes surpris que l’autre n’accepte pas.
La pratique de l’altérité aide à prendre en compte ce risque dans le développement de nos relations en soignant la qualité de notre rapport à l’autre. Et dans ce cadre, 2 éléments fondamentaux sont à considérer:
-la communication
-l’objectif visé par notre relation avec l’autre.

Est ce que ce que nous disons ou faisons à l’autre concoure à asseoir un environnement apaisé pour réaliser l’objectif qui nous réunit?
Un basic à expérimenter n’est ce pas?
LA PAIX N’EST PAS UN MOT, C’EST VRAIMENT UN COMPORTEMENT

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contact SMS: 0102444464
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VIVRE ENSEMBLE S’APPREND: LA PRATIQUE DE L’ALTÉRITÉ

L’altérité implique la reconnaissance et la prise en compte de l’existence d’autres individus, cultures, ou perspectives.
L’altérité met l’accent sur le respect de l’autre en tant qu’entité distincte de nous et unique.
La pratique de l’altérité est un indispensable pour:
*Construire le vivre ensemble
*Animer le dialogue social
L’autre avec qui nous interagissons est différent de nous.
Souvent dans les relations interpersonnelles cet aspect nous échappe; nous parlons, nous agissons la plupart du temps puis nous sommes surpris que l’autre n’accepte pas.
La pratique de l’altérité aide à prendre en compte ce risque dans le développement de nos relations en soignant la qualité de notre rapport à l’autre. Et dans ce cadre, 2 éléments fondamentaux sont à considérer:
-la communication
-l’objectif visé par notre relation avec l’autre.

Est ce que ce que nous disons ou faisons à l’autre concoure à asseoir un environnement apaisé pour réaliser l’objectif qui nous réunit?
Un basic à expérimenter n’est ce pas?
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L’altérité appelle la reconnaissance de l’autre dans sa différence. La question de l’altérité s’inscrit dans un espace intellectuel qui va de la philosophie, de la morale et du juridique, jusqu’aux sciences de l’homme et de la société
L’altérité est donc un concept utilisé dans de nombreuses disciplines comme la philosophie, l’anthropologie, l’ethnologie, la géographie etc…
La pratique de l’altérité amène à défendre que l’Autre est visage et qu’il faut l’accueillir ; et après avoir découvert autrui dans son visage, on découvre qu’on est responsable de lui : il existe donc une nouvelle proximité avec autrui qui permet une sortie de la solitude.
La pratique de l’altérité concoure à la sociabilité, une véritable rencontre avec cet Autre au cours de laquelle on note engagement réciproque, responsabilité l’un de l’autre.
Dans le contexte de la médiation professionnelle
La pratique de l’altérité développe une attitude impliquant la réciprocité, l’attention aux autres.

Dans l’administration financière par exemple, la pratique de l’altérité conduirait chaque acteur de l’exécution budgétaire, de la collecte des taxes et impôts, du paiement des dépenses publiques etc. à considérer le Citoyen, Cet Autre, bénéficiaire des services qu’il doit fournir.

Ce qui impliquerait que cet acteur est capable de se mettre à la place du bénéficiaire et d’apprécier la réciprocité.

Il est donc capable de se poser les questions suivantes : « apprécierai-je que mes enfants fréquentent un établissement scolaire insalubre ?» « Apprécierai-je qu’un agent assermenté me fasse payer des faux frais indépendamment des impôts ? » « Apprécierai-je une retenue indue lors du paiement de ma facture après service fait ? »

LA PRATIQUE DE L’ALTERITE : facteur de performance et de bonne gouvernance dans la gestion publique ?
Oui assurément.

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